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Au-delà des hommages à Williams, Giacchino impose brillamment sa thématique, naviguant entre émerveillement d’enfant et rage préhistorique. Vu la médiocrité du film, son excellence musicale est d’autant plus admirable.
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Des révérences à Williams et une robustesse de nouveaux thèmes et développements qui ne se dément pas, même si le tout s’essouffle sur la longueur. Le score le moins excitant de 2015 chez Giacchino. On chipote ? Peut-être.
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« Ok Michael, bon, faut que tu passes derrière Williams et qu’en plus tu replaces ses thèmes l’air de rien, parce que bon, c’est Jurassic Park quand même, tu vois. » Et il l’a fait. C’est définitivement l’année Giacchino et c’est tant mieux.
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Giachinette n’a pas peur de passer derrière des grands compositeurs, tout simplement parce qu’il le fait avec brio, en leur rendant un vibrant hommage, tout en conservant son style inimitable. Chapeau l’artiste.
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Qui l’arrêtera ? Quand les thèmes de Williams déboulent, Giacchino ne fait pas le poids. Mais le reste, mazette ! C’est mystérieux, excitant, mignon, exotique, sauvage, terrifiant. De vraies montagnes russes musicales.
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Passées les reprises de la mélodie de Williams, le score de Giacchino pullule de références à deux opus jurassiques de Williams, notamment dans les orchestrations. Quant à la thématique de Giacchino, une fois dévoilée, elle s’avère brillante.
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