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Remplacez le souffle épique de Dragonheart par de l’americana et vous obtiendrez ce très joli score qui, lui non plus, ne manque pas de cœur. La mélodie a toujours été le point fort de Randy Edelman, et cet album ne fait pas exception.  |
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Avec le recul, on se dit qu’Edelman musicalisait pratiquement tout exactement de la même manière. Si sa très mélodique et singulière mixture synthético-orchestrale vous manque, ou que vous souhaitez la découvrir, pourquoi pas ?  |
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Passé un Main Title kitschouille, on se retrouve avec un score jouli meugnon, reflet de son époque. Pas ce que je préfère d’Edelman, mais néanmoins sympathique.  |
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Edelman, quand il veut, c’est pas mal. Mais du bon Edelman reste du Edelman.  |
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Edelman a le don de gâcher des thèmes plaisants par de pâteux arrangements et de pauvres développements. Loin d’être son pire travail (ça me fait mal de l’écrire !), il court ici péniblement derrière Hans et Alan.  |
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Malgré l’orchestre, on reste sans voix face à ce score inédit. Du degré de mièvrerie dans l’écriture, toujours monobloc, à l’exécution aux synthés ringards et aux cordes dégoulinantes de glucose, rien ne résiste à l’outrage du temps.  |