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Oui, comme toujours avec Horner, on entend parfois des motifs familiers. Et alors ? Ce Wolf Totem est si puissant, si passionné, si émouvant, si enthousiasmant que je me laisse emporter sans résistance, et je vous invite à faire de même.  |
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On écoute Horner comme on retrouve un peintre dont on connaît sur le bout des doigts la palette et la technique, au point d’anticiper chaque représentation ou presque. Mais il n’empêche que le bonhomme sait aller droit au cœur lorsque le sujet le lui permet.  |
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Horner a retrouvé ses rognons et nous démonte avec une partition à tirer toutes les larmes de notre corps. Là, j’ai envie de pleurer. Et de prendre un loup dans mes bras. Pas vous ?  |
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Voilà un Horner qui fait aimer Horner ! Ca coule sans être sirupeux, c’est sensible sans être doucereux. Le compositeur, ayant tout compris aux paradoxes de la Nature, nous fait vivre des aventures au premier degré. Exaltation et larmichette assurées !  |
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Je ne suis pas super fan de Jamie, peut-être est-ce un avantage ? Ce que j’ai reconnu ne m’a pas gêné. Le thème omniprésent offre de belles variations, les orchestrations sont classieuses, l’album a un sacré aplomb. Une franche réussite.  |
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Horner nous livre son Dances With Wolves : un score majeur, beau et intense. Il le bâtit sur un thème principal d’une mélodicité et d’une puissance d’évocation inouïe, à la fois épique et noble. Les pièces d’action sont à tomber. Un must.  |