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L’amiral est ici bien embarrassé par ce gros navire lourdement chargé de tous les tics les plus récurrents de l’écurie Remote Control, qui se noie finalement au creux de vagues de banalités qui vont l’engloutir corps et âme. R.I.P. |
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Servir sans panache un plat aussi fade, épais et bourratif à un personnage de ce rang, c’est au mieux le fond de cale en attendant le conseil de guerre, au pire la pendaison immédiate à la grand-vergue. Indigeste. |
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On sent chez Morris diverses influences modernes, pas toujours les meilleures d’ailleurs, donnant finalement un tout peu ou prou digeste. Mais un album trop long pour pas grand chose finit par fatiguer mes oreilles. |
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Alors là, tu vois, les galions de la flotte anglaise se transforment en robots géants ! Et l’amiral hollandais utilise sont cube fluo galactique pour… Bref, voilà ce que ça m’évoque. John Scott, Basilou, au secours ! |
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Loin de l’univers musical du 17ème siècle, le score de Morris s’apparente sans complexe au son RCP des années 2000. C’est très chargé, boursouflé même parfois, mais l’ensemble ne manque pas, malgré tout, d’un certain panache. |