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On attendait un érotisme torride Elfman préfère nous plonger dans la complexité d’émotions que le film est bien incapable de faire passer par ailleurs. Bref, encore une partition bien plus intelligente que le métrage qu’elle illustre.  |
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Du Elfman soft, certes, mais à la sensualité plus sophistiquée qu’il n’y paraît au premier abord : sujet plutôt bien emballé donc. Et après ces préliminaires, rien ne vous empêche de basculer sur l’orgasmique Basic Instinct de Jerry…  |
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Voici au moins un truc à sauver dans ce naufrage cinématographique. Même si Elfman n’est pas à son top, il nous ressort ses délires à la To Die For et finalement on l’écoute avec plaisir, dès lors que l’on oublie de quel film il s’agit.  |
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Probablement un beau chèque du studio Universal pour Elfman… et un certain ennui pour l’auditeur. C’est soigné mais assez lisse… Et il n’y a pas de cul, quelle arnaque ! Les Variations constituent tout de même une chouette suite.  |
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Elfman soigne ses ambiances, simples en apparence, pleines de petites variations ambiguës. Il flirte souvent avec le vulgaire sans jamais y succomber. Langoureux, hypnotique tout en gardant de la distance… Très pro.  |
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Dire que cela aurait pu être le Basic Instinct d’Elfman… Voilà un score évanescent, porté par les percussions cristallines, le piano, les synthétiseurs et les cordes, dans la lignée de Big Eyes. On peut trouver intéressante la suite qui clôt l’album.  |