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Giacchino a pris le genre au pied de la lettre, composant un véritable opéra d‘une ampleur incroyable, ultra maitrisé, orchestré avec un soin maniaque, bardé de sommets épiques et thématiques, de pièces d’actions époustouflantes… Sensationnel !  |
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Une partition en Technicolor, un spectacle pyrotechnique, une fantaisie pour chœur et grand orchestre mitonné aux petits oignons par un Giacchino des plus inspirés, plus impressionnant de maîtrise encore que pour John Carter, c’est dire !  |
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Comment vous dire… Il est fort possible que l’on se retrouve devant le score de l’année. Entre des leitmotiv « pan dans ta gueule » et des mélodies à tomber par terre, il y a tout ce qui m’a fait tomber dans la béophilie. Il est fort ce Giacchino.  |
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C’est ambitieux, c’est grand, c’est beau. Manque peut-être l’étincelle émotionnelle qui le hisserait au niveau d’un Star Trek version Abrams ou d’un Pixar. Mais c’est à coup sûr la claquasse de ce mois et pour un bout de temps.  |
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En plus d’être absolument génial, du très grand space opera épique, on profite de la conception musicale marginale avec l’opéra en quatre mouvements composé avant le tournage. Chef d’oeuvre ? Oui !  |
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Il est passé en boucle. Vous aimez John Carter ? Alors précipitez- vous dessus (c’est probablement déjà fait). Grandiloquent (sans arrêt), subtil (parfois), bourrin… Giacchino est le chef la cour de récré ce mois-ci !  |
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Giacchino s’offre un gros score pop-corn bigger than life pour orchestre et choeurs. Certes, ce n’est pas toujours très raffiné, mais bourré d’une énergie positive. A noter, la présence de la suite symphonique qui fut jouée pendant le tournage.  |