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C’est avec une ampleur remarquable que Giacchino achève la trilogie, ne cédant jamais à la facilité pour mieux servir les enjeux au cœur du film, et on ne peut qu’être frappé par l’intelligence émotionnelle avec laquelle il s’acquitte de sa tâche. Déjà fantastique sur disque, cette partition raffinée ne prend cependant toute sa mesure qu’à l’image.
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Giacchino poursuit le travail exigeant de son précédent opus pour la franchise, et fait preuve une fois encore d’une impeccable sophistication dans la conduite du récit musical, servi par un travail sonore minutieux et une apparente mais effective simplicité mélodique (dont un genre de valse lente, belle idée) qui fait mouche à tous les coups.
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Plus qu’un prolongement du précédent, dont les rares fragments apparaissent comme des débris du bonheur perdu de César, c’est l’apothéose de l’art narratif de Giacchino, une odyssée intime aux échos émotionnels colossaux, portée par un romantisme descendant directement de John Barry, et à sa hauteur. Un des chefs-d’œuvre de MG.
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Un peu moins enchanté à la première écoute que par le volet précédent, il n’empêche que le travail diatonique, les ambiances et les mélodies sont écrites par un maitre. Si vous êtes fans du monsieur, vous serez comblé.
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Encore une année chargée pour Giacchino, mais c’est pour les singes que le compositeur s’est donné à fond. Avec un rare sens de la mesure, il définit un récit étonnant de limpidité et d’intelligence dans lequel les péripéties musicales ont toujours un sens. Au passage, j’avoue avoir dû réévaluer l’opus précédent à côté duquel j’étais passé (honte).
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J’ai complètement succombé à ce nouvel opus musical de la saga. Intensité dramatique, thèmes emportés et emportant… Giacchino mêle une sensibilité d’écriture à la Lost et un thème ample et théâtral à la John Barry à un effectif orchestral et choral impressionnant (plus une montagne de percussions !). Jouissif.
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