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Une musique d’aventures maritimes aussi transparente que les eaux de la Mer Noire (!), avec la profondeur du petit bain de la piscine municipale de Savigny-le-Temple, ce qui n’empêche pas qu‘on se noie vite dans des abysses d’ennui. |
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Pas mal de facilités tout de même, les figures employées sentent le poisson pas franchement frais, mais heureusement Eshkeri tient plutôt bien ses ambiances et ses développements. Honnête mais rapidement oublié. |
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Circulez, y a rien à voir ! Les mêmes partitions qu’on entend tous les mois, de l’ambiance et de l’orchestre mélangé à de l’électro n’apportant absolument rien. J’ai l’impression insupportable d’avoir écouté ça mille fois. |
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Alors Black Sea, voyez, c’est de l’action-suspense arthritique avec des gros ostinati de cordes sclérosés et des ambiances de maison de retraite. Voilà en gros le tableau du bateau. |
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Et merde, ce n’est pas un film de pirate. Je ne vous raconte pas la déception. Au final, c’est une musique de thriller pas forcément très fute-fute. Déception ultime, mes amis. |
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À croire qu’Eshkeri a composé ça pendant les vacances d’hiver pour passer le temps sur le tire-fesses. Ostinati de cordes, nappes d’ambiance, quelques notes de cymbalum et un GROS bâillement. Rendez-moi 47 Ronin ! |
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Entre des mesures entières agitées à la sauce RCP et des pistes pensives convenues, on aimerait trouver l’humanité des personnages. Ce sera peine perdue. Quelques sonorités intéressantes ne suffisent pas à maintenir l’intérêt. |