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De délicates ambiances intimistes jolies tout plein, mais qui perdent tout même beaucoup de leur force une fois séparées de l’image, d’autant plus que l’album est vraiment très très court. Mais ça rattrappe un peu le triste Black Sea. |
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Un piano, touchant et lumineux, et un trio à cordes, tellement fragile qu’il peut s’égarer en désordre : il n’en faut pas plus à Eshkeri pour traduire un Alzheimer sans pathos, sans surcharge. Très court, mais de grande qualité. |
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C’est très bien écrit, super bien produit, on ne peut pas dire qu’Eshkeri soit un cancre. Mais… C’est du gros pathos qui tâche, ennuyeux à s’ouvrir les veines avec une clé à molette. Hop, viré de ma playlist. |
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Mais dis donc, c’est très joli ce petit score ! Eshkeri sort un piano et un petit ensemble de cordes sensibles et concis pour cette histoire a priori larmoyante, avec un beau thème mais sans longueur ni trop de pathos. Simple et joli. |
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Eshkeri s’est appliqué cette fois, ouf ! Partition intime et triste pour piano et violoncelle. C’est plein de regret, mais la musique cherche à s’apaiser malgré des peurs fugitives. Rappelle un peu Lost de Giacchino. |
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Un score évanescent. On pense à Iris de Horner qui, sur un sujet similaire, avait eu recours à un ensemble orchestral comparable. L’originalité ici est d’avoir davantage traduit en musique la perte de mémoire de Julianne Moore. |