 |
Lorne Balfe n’est pas un manchot, et il le prouve avec cette partition débridée à la bonne humeur communicative. Pas de quoi faire fondre le Pôle Nord, mais il a soigné ses thèmes, lu et relu son vieux traité d’orchestration, et on passe au final un bon moment en sa compagnie.  |
 |
Dans un style qui tient à la fois de Zimmer et de Powell, rappelant parfois, assez curieusement, le lointain Antz, Balfe signe une partition pastiche rythmée d’abord assez divertissante mais néanmoins rapidement trop répétitive.  |
 |
Une comédie d’espionnage avec batterie, guitare et section de cuivre. Convenu ? Certes. Mais aussi assez inattendu de la part de Balfe, qui concocte un décalque des 007 d’Arnold s’écoutant avec un plaisir assez proche. Énergique et jamais lassant, en tout cas.  |
 |
On ne s’ennuie pas une minute à l’écoute de ce Penguins Of Madagascar. Limite, c’est un peu trop. Mais en tout cas, c’est fun, à l’image du projet, et on ne peut pas dire que Lorne se soit laissé pousser un poil dans la main.  |
 |
L’alignement des clichés rigolos et des trucs déjà entendus mille fois fait penser à un exercice qu’un étudiant un peu inspiré aurait accompli d’une bien meilleure façon.  |
 |
Allez, c’est plutôt rigolo et fun à écouter, bien que ça tape sur le système à la longue avant la fin de la galette. Rien de fantastique, un pastiche de musique de James Bond sauce Remote Control qui fonctionne si on n’est pas trop regardants.  |