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Il y a décidément de bonnes surprises côté TV en ce moment. Pour preuve, ce score aux ambiances travaillées qui exploite le pouvoir de la mélodie pour générer malaise, tension et surtout un sentiment d’insondable tristesse.  |
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Bacon assure le job de manière pro, mais sans aucune personnalité. Du coup, difficile de voir ici autre chose qu’un remplissage où, sans être désagréable, l’ennui guette à chaque coin de douche.  |
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J’ai vraiment un souci avec les scores de séries. Celui-ci en est un bel exemple, tant on y trouve de belles mélodies suivies d’ambiances déjà entendues mille fois et complètement interchangeables.  |
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Que ce soit sur le grand ou le petit écran, Norman Bates était jusqu’ici plutôt bien pourvu en termes de musique. Mais que s’est-il passé dans cet hôtel flambant neuf ? Justement, rien, la faute à une musique d’ascenseur à la fois basique et chiante.  |
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Je suis rarement surpris pas une musique de série, et il faut l’avouer, c’est souvent ennuyeux à écouter. Mais ce score est surprenant, avec une jolie écriture orchestrale aux accents modernes qui flirte assez subtilement avec Herrmann.  |
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Bacon a été le disciple de JNH et ça s’entend. S’appuyant sur les cordes, les synthés et le piano, sa relecture de Psycho fait le grand écart entre Herrmann et Goldsmith. Hélas, on ne retient pas grand-chose du mélange.  |