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Un Goldsmith mineur mais bien hargneux qui sert de répétition générale avant le chef d’œuvre que sera The Mummy. Cette version longue ajoute des développements et des passages d’action inédits qui méritent largement le détour. |
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Un tout petit Goldsmith, assez décousu et empesé, mais comme toujours traversé de vraies fulgurances quand on croise des réminiscences de City Hall et Congo ou des signes avant coureurs du futur The Mummy. |
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Un Goldsmith typique des 90’s, où l’on retrouve des idées et des motifs sublimés ensuite dans The Mummy. Un score d’aventure plein de panache à l’énergie contagieuse. Probablement écrit les yeux fermés… mais à écouter pareil ! |
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« Euh, Jerry, c’est une petite série B sans prétention hein, ne t’embête pas ! » « Non t’inquiète, comme d’hab’ quoi. » Sublime, bourrin, un des meilleurs thèmes de monstre qui soit, cette chute de cuivres ravira les fans de tous poils. |
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Un de ces crus goldsmithiens bien bis sur les bords (et même jusqu’au fond), mais tellement bien ficelés qu’ils en deviennent super chouettes. |
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Imaginez un peu Alien avec des grosses couilles. Évidemment au passage, on perd en finesse ce qu’on gagne en pur plaisir béophile. Un gros thème martial et épique renforcé de synthés qui font peur. Il n’y a pas à dire, on ne s’ennuie jamais avec Jerry. |
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L’intégrale d’un score jugé faible à sa sortie peut permettre de le classer avec les purges ou de revoir son jugement à l’aune des inédits. Péché mignon assumé pour certains, grotesque pour d’autres, Deep Rising est surtout très fun ! |