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Le score cumule les influences de plusieurs grands Silvestri de l’époque (Back To The Future, Who Framed Roger Rabbit?…), sans toutefois les égaler. Mais trouver une telle inspiration sur le terrible nanar qu’est le film, c’est déjà digne de tous les éloges.  |
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Un panel d’émotions qui pourrait être celui d’une production Amblin, le tout emballé dans le plus pur style du Silvestri de l’époque. On se laisse d’abord titiller l’oreille avec plaisir, mais cela devient très vite assez répétitif.  |
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Et hop, une petite merveille du maître, pour un film qui est lui complètement abominable. N’empêche, le CD tourne en boucle depuis pas mal de temps chez moi, et je ne suis pas prêt d’arrêter de l’écouter !  |
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Nanar ? Oui, et alors ? Silvestri nous gratifie d’une émotion simple et sincère et d’une action légère mais trépidante. Rien à jeter donc.  |
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Bienvenue pour le megamix Silvestri. On a mélangé pour vous Predator, Back To The Future et Who Framed Roger Rabbit? pour votre plus grand plaisir. Soyez nombreux à y jeter une oreille !  |
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Oubliez le film (ou mieux, ne le voyez jamais) et racontez-vous votre propre histoire en vous laissant porter par cette musique orchestrale magique. Silvestri, alors entre Who Framed Roger Rabbit? et The Abyss, était au top de sa créativité.  |