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De l’électronique glacée des fonds marins au climax orchestral en forme de feu d’artifice, une œuvre majeure du compositeur californien. Les pistes alternatives, ébouriffantes, évoquent même parfois un autre chef-d’œuvre : Predator. Wow ! |
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La partition peut-être la plus pointue de Silvestri en termes d’équilibre entre suspense atmosphérique discret, action énergique et soutien de l’imagerie fantastique et merveilleuse. Une redécouverte absolue. |
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Avec le duo de Predator, l’autre chef-d’œuvre de Silvestri, qui illustre en plus un film merveilleux. Inspiré, fantastique, émouvant… il y a tout dedans ! L’année 2014 commence trèèèès bien ! |
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À moins d’avoir passé les 30 dernières années dans les abysses à faire gouzi gouzi aux poissons, impossible d’être passé à côté de ce chef-d’œuvre mélangeant synthé, orchestre et chœur. Un voyage musical tour à tour claustro, mystérieux et féerique. |
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Le Varèse de jadis frustrait par sa maigreur, mais était agencé avec superbe. Malgré (ou plutôt à cause de) sa pléthore d’inédits, souvent redoutables, cette réédition met en péril l’équilibre d’un classique plus fragile qu’il n’y semblait. |
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Même si certains passages synthés en rebuteront forcément, l’impact de l’arrivée progressive de l’orchestre n’en est que plus percutant. La progression narrative rétablie de cet opus majeur de Silvestri constitue une redécouverte extraordinaire. |