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Très belle édition de l’une des musiques les plus appréciées du sieur Hans aujourd’hui encore : en plus de la sélection album, parfaite, la version film permet de redécouvrir la pensée originale du projet, avec sa mise en avant des éléments synthétiques et des parentés plus flagrantes avec de précédents scores, celui de Black Rain en particulier.
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Avec cet album, je me souviens d’un temps lointain où j’aimais la musique de Zimmer. Souvent interchangeables, ses scores dégageaient une belle énergie, leur permettant de tenir encore la route après 30 ans, même si on voit déjà les limites du système. Les fans des chansons garderont leur CD de 1991. Un pompier, ça fait toujours plaisir.
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Orchestre doublé de synthés vrombissants, appui percussif systématique. C’est du Zimmer, du lourd, mais cuvée 91 : le sound design épais et l’écriture parfois pauvre n’empêche ni l’émotion ni la grandeur hymnique, qui enflamme le pompier présent en chacun de nous. Parfait, c’est la saison des BBQ.
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Je vous parle d’un temps, celui où Hans faisait de la musique (pas juste du sound design) avec pléthore d’action, bardé de synthés certes, mais en ayant l’humilité de reconnaitre que Shirley Walker était déterminante à son processus de création (ah Hans, tu te trompes quand tu dis qu’elle n’avait, comme toi, aucune formation musicale). Feel good.
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Alors là, je dois avouer que j’avais un peu peur de cette sortie… On parlait de plus d’effets électroniques, de démos… Mais ça rajoute du charme à ce score, ça le bonifie ! On est dans l’époque de Zimmer que j’aime beaucoup. Absolument formidable. Il y a plus de 30 minutes de musique en plus. Manque les deux chansons, mais tant pis…
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