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Streitenfeld fait dans le conceptuel atmosphérique mou. Il aurait pu s‘abstenir : on attend juste que ça passe pour pouvoir écouter autre chose de mieux. Mais quand la mélodie pointe enfin le bout de son nez, on dresse l’oreille.  |
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Une assez bonne surprise au final. J’attendais un truc lourdingue, rempli d’ambiances, et finalement, ça s’écoute avec plaisir, grâce à un travail imaginatif sur les sonorités. Attention, ça reste de l’ambiance quand même, faut pas déconner.  |
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Il y a quelque chose de fragile, comme une enfance brisée, dans cette « petite » oeuvre de Streintenfeld qui, s’il semble avoir abandonné (de force ?) des projets plus ambitieux, vient ici à l’essentiel avec une rare intelligence émotionnelle.  |
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Un score passe-partout écoutable de l’ami Marc Streitenfeld. Ça chiale à tout va de la corde au milieu des nappes synthétiques interminables. Bref, vous l’aurez compris, ça n’a aucun intérêt, mais vos oreilles en sortiront indemnes.  |
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Streitenfeld me surprend encore une fois. Émotion tremblante, timbres rugueux et aériens mêlés dans des volutes crépusculaires. Une tempête glaciale gronde dans le lointain. Tout près, un cœur serré bat malgré tout…  |
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Pour ce drame, Streitenfeld s’appuie essentiellement sur des sonorités cristallines, à travers les cordes et les percussions qu’il manipule, et qui reflètent à merveille la fragilité de l’existence menée par le personnage principal. Bluffant.  |