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Cher Cyrille, quelle vitalité, quel entrain, quelle malice ! Cette partition pleine de vie qui rappelle le Elfman champêtre façon Black Beauty continue, s’il en était besoin, de confirmer un talent majeur dans la paysage de la musique de film hexagonale. Une fois l’écoute terminée, on n’a qu’une envie, c’est d’appuyer à nouveau sur Play !
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Le coup de cœur du mois va à cette très jolie partition orchestrale articulée autour de son thème principal concertant pour violon, ses ostinati facétieux, une douce mélodie au célesta, quelques mouvements amples bienvenus et surtout une tendresse de tous les instants qui place Aufort aux côtés de Philippe Rombi. Banco !
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Très jolie partition, ample et lumineuse, lorgnant vers du merveilleux à la Williams (Harry Potter), Silvestri (Night At The Museum) ou Tom Newman. Un entrain qui tourbillonne omniprésent donne une vigueur exaltante à ce score concis. Extrêmement plaisant à l’oreille, il séduira les amateurs de symphonique équilibrant académisme et modernisme.
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Il y a indéniablement un croisement sans doute involontaire dans la musique d’Aufort : celui entre l’espièglerie qu’un Elfman n’aurait pas renié dans certains thèmes et le lyrisme romantique d’un Cosma, façon comédie tendre. L’orchestration est travaillée (célesta, violon solo, piano, guimbarde, percussions légères…) et la thématique solide.
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