Get Even (Olivier Derivière)

UnderScorama • Publié le 15/06/2017 par

Get EvenGET EVEN (2017)
Compositeur : Olivier Derivière
Éditeur : Ameo Publishing
Format : Digital
Date de sortie : 26/05/2017

4 out of 5 stars
Olivier Desbrosses C’est autour de la plainte d’un violon solitaire que Derivière entreprend ici de tisser d’étranges liens entre son orchestre et les expérimentations électroniques qui lui sont chères. Le pari est une fois de plus réussi, stimulant et novateur, d’autant qu’il prend aussi le soin de laisser parler à l’occasion une émotion sincère et très directe.
3.5 out of 5 stars
Florent Groult Prenant parfois appui sur certains bruitages, cette partition pour orchestre à cordes et électro crée à elle seule l’urgence, le malaise, l’incertitude, la nostalgie, la détermination, la peur… A l’image d’Austin Wintory, ce qu’offre Olivier Derivière pour alimenter et enrichir l’expérience vidéo-ludique est à la fois exigeant… et carrément épatant !
4 out of 5 stars
Pierre Braillon C’est encore un support vidéo-ludique qui bouscule les genres : une musique grave et habitée, imbibée de la mélancolie tenace d’un petit ensemble de cordes et hantée par des sons tirés du jeu habillés d’électro spectral… Tout ça pour un FPS ? Inattendu et prenant.
3.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Alors que l’on a à faire à un jeu d’action en vue subjective, la musique verse régulièrement dans l’émotion et apporte véritablement un supplément d’âme à l’expérience vidéoludique. Derivière fait du bien.
4 out of 5 stars
Milio Latimier Derivière persévère à explorer de nouveaux horizons, mélangeant timbres acoustiques, électroniques et effets sonores manipulés, entrechoquant les styles et les modes. Le résultat impressionne encore une fois, mêlant originalité et efficacité. Le ton est ici très psychologique et dépouillé, mieux vaut être prévenu.
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Une musique de jeu vidéo totalement immersive, bénéficiant d’une bonne section de cordes et d’éléments électroniques recherchés (bruitages issus du jeu etc.). Derivière a décidément un grand talent pour saisir l’atmosphère juste. Une musique, certes flippante par instants, mais toujours intéressante : on y sent le poids du regret et de la contrition.
4 out of 5 stars