L'UnderScorama possède son propre topic, parce qu'il le vaut bien, incontestablement. Les James Bond de carton-pâte, lâchés telles des bombes puantes sur le site du diablotin écarlate par votre serviteur, ont le leur, et s'en glorifient d'ailleurs en bombant vaniteusement le torse. Il serait injuste, par conséquent, que la toute nouvelle rubrique de la boutique, promise de surcroît à une belle longévité, n'en obtienne pas un elle aussi. Me voici donc, squelettique hôte de ces lieux, prêt à ouvrir chaque semaine (eh oui, le rythme de publication s'annonce musclé !) les portes de la caverne aux merveilles où la fusion image/musique, extraits à l'appui, sera passionnément décortiquée. Mais ce cher vieux Pierrot, revenu d'entre les morts pour me convaincre d'adhérer à cette sublime cause, va vous expliquer la chose mieux que moi. A lui l'honneur d'ouvrir les hostilités avec ce que beaucoup, ici autant qu'ailleurs, considèrent comme ZE fuckin' score...

Énorme! Bravo, et merci Pierre pour la surprise.

Musclé, en effet, vivement la suite... quels seront les films choisis, ce sera la surprise.

Si je comprends l'idée (grosso modo), ce sont des chroniques qui traitent en particulier d'une scène et de sa musique ?
Mais je vais en faire aussi alors si le "diablotin écarlate" les valide

Et du coup, j'ai envie de revisionner la chronique vidéo du Fossoyeur de Films sur ce métrage que je n'ai encore jamais vu. Prochainement, peut-être ?
"Ça va barbare-der !"

Et du coup, j'ai envie de revisionner la chronique vidéo du Fossoyeur de Films sur ce métrage que je n'ai encore jamais vu. Prochainement, peut-être ?

Pardon ??? J'ai rien entendu là. Allez file.

Ah, les amis, ça faisait loooooooogtemps qu'elle me trottait en tête cette idée, que vous avez parfaitement cernée. Oui, l'idée, c'est de visiter chaque semaine, un coup moi, un coup Van Cleef, UNE séquence, généralement associée à UNE piste d'une score incontournable- et vous verrez qu'on aura une compréhension très large du terme. Ce qui est sûr, c'est qu'on ne laissera échapper aucun de nos classiques à tous, mais qu'on caviardera ça largement de nos classiques à nous. Avec, autant que possible, et parce que la technologie de pointe du nouveau UnderScores 2.0 le permet, la scène en question en streaming, pour qu'au poids des mots s'ajoute le choc des vidéos. Et si ça vous plait, on est ravis, parce qu'on a prévu d'en faire au moins 100. Hein Van Cleef ?

Vous êtes des malades

Woah! Eh ben dites donc, en voilà un programme des plus alléchants, et surtout, quelle manière de le commencer! Ce n'est pas moi qui vais contester ce choix...

Pierrebrrr a écrit :on caviardera ça largement de nos classiques à nous

Héhéhé, j'ai hâte de lire (et écouter!) ceux-là

Bravo à notre Pierrot (bonne année, vieille branche !) pour cette salve introductive ! J'ai déjà hâte de lire la suite...

Dadid a écrit :quels seront les films choisis, ce sera la surprise.

Edern a écrit :

Pierrebrrr a écrit :on caviardera ça largement de nos classiques à nous

Héhéhé, j'ai hâte de lire (et écouter!) ceux-là

En exclusivité glorieusement exclusive, le vieux Van Cleef peut d'ores et déjà lever un petit coin du voile dissimulant ses propres et ô combien stimulantes perlouzes. Non, non, ne me remerciez pas, gentlemen, c'est cadeau !

Ah oui, là ça calme...

Lee Van Cleef a écrit :
En exclusivité glorieusement exclusive, le vieux Van Cleef peut d'ores et déjà lever un petit coin du voile dissimulant ses propres et ô combien stimulantes perlouzes. Non, non, ne me remerciez pas, gentlemen, c'est cadeau !

J’adore cette scène, souvenir de jeunesse ! D’ailleurs si tu t’en souviens je l’avais déjà posté ici il y a longtemps, comparant l’ensemble à la chorale d’Underscores . L’extrait en question vient du film "Attention, on va se fâcher"

Mortimer a écrit :J’adore cette scène, souvenir de jeunesse ! D’ailleurs si tu t’en souviens je l’avais déjà posté ici il y a longtemps, comparant l’ensemble à la chorale d’Underscores

Hé, maintenant que tu en parles, Morty, des bribes de souvenir commencent à affleurer...

La semaine dernière, Pierrot, ses joues écarlates gonflées autour de l'embouchure du cor, avait sonné la charge avec panache. Maintenant, c'est au vieux Van Cleef qu'il appartient de se jeter dans la bataille. Et vous allez voir qu'après les "joies" de la crucifixion auxquelles Conan avait précédemment goûté, une autre plaisante pratique issue des profondeurs de l'esprit humain, qui n'a décidément pas son pareil pour écourter de mille et une manières les jours d'un être vivant, est à l'honneur.

Raaaaahh... un choix proprement révolutionnaire, si l'on peut dire ! Le genre de musique qui marque son spectateur !

Sam Lowry a écrit :A la faveur du troisième opus de la séquence du béophile (consacrée à la Nuit du Chasseur), rédigée par un Pierrot habitée doublement par une envie de communier avec le tout un chacun qui trainera ses yeux sur le site d'Underscores, je me suis régalé par la profondeur décryptée de cette scène qui, étant plus jeune, m'avait également fascinée. Encore du bon boulot, mon Pierrot.

Pierrot est un type plein de surprises. Sous son épaisse cuirasse de tough guy dur au mal, palpite un coeur toujours prêt à se dilater au contact des plus vertueux et des plus nobles sentiments. Il était ipso facto tout désigné pour gratter quelques lignes sur la fascinante dualité baignant l'unique essai derrière la caméra de Charles Laughton... Mais je m'aperçois tardivement qu'en dépit de ses deux caboches, Sam l'étourdi a omis de fournir le "lien qui va bien", comme dirait Krull. Heureusement que je passais dans le coin : Robert Mitchum s'apprêtait tout juste à pousser la chansonnette.

Lee Van Cleef a écrit :Mais je m'aperçois tardivement qu'en dépit de ses deux caboches, Sam l'étourdi a omis de fournir le "lien qui va bien"

Diantre, c'est pourtant vrai que mon attention n'est plus au beau fixe !.. Toutes mes plus plates excuses.

N'ayant conservé de sa petite séance de bronzage sur l'Arbre du Malheur, il y a quelques semaines de cela, qu'un souvenir pour le moins mitigé (on le comprend), notre ami Arnold a trouvé judicieux de se remettre de ses émotions en partant pour une villégiature martienne. Hélas, cette dernière s'est avérée beaucoup moins reposante qu'escompté. Votre cadavérique serviteur peut en témoigner.

Encore une belle séquence décryptée que voilà ! Je me suis délecté de ta prose chez Lee tant il est vrai que Kuato et moi partageons un bicéphalisme de bon aloi.

Excellent! J'avoue qu'avant de cliquer je savais déjà de quelle séquence il s'agissait
Elle m'a également marqué à l'époque

https://m.youtube.com/results?q=total%2 ... aming&sm=3

la scene en miroir?

Hé-hé ! Sans la moindre miette de surprise, je constate qu'Arnold s'amusant à génocider gaillardement les populations de la Terre et de Mars, ça vous parle autrement plus que Danton, gentlemen. Eh bien, réjouissez-vous ! Peut-être l'aviez-vous déjà deviné, mais cette nouvelle rubrique a pour ambition ultime de traiter de séquences exclusivement issues de l'altière filmographie du Chêne autrichien. Dès la semaine prochaine, un Pierrot remonté comme une pendule compte bien mettre tout le monde à genoux grâce à un fleuron injustement négligé des eighties. Et dans la foulée, mon sublime katana, trempé dans les eaux dorées du plus élégiaque des lyrismes, portera le coup de grâce, déjà.

Sans oublier, la célèbre réplique du doublage français...

Surtout quand c'est Pruitt qui le dit.

Vous vous doutiez certainement, amis à l'infaillible perspicacité, que Star Wars était destiné à goûter à la bienfaisante médecine des petites mains d'UnderScores. Pour cette fois, c'est Pierrot qui s'y colle, en nous emportant haut, très haut dans les nuages, jusque vers le cotonneux écrin où nos héros aux abois trouveront niché un providentiel havre de paix. Du moins le croient-ils...

Pour commencer, le Cancre, il faut que tu nous gratifies, Pierrot et moi, de la reine de toutes les génuflexions, puis d'un chapelet logorrhéique d'obséquieuses flatteries (tiens, commence un peu par passer la brosse à reluire à ce papier tout frais sur The Empire Strickes Back, qu'on voit si quelque talent t'habite pour la flagornerie). Ensuite, il te faudra solennellement jurer qu'il ne s'agit pas là d'une fourbe manoeuvre pour te vautrer davantage (est-ce seulement possible ?) dans tes névroses "michaelgiacchinesques". Et enfin, une fois accomplies toutes ces formalités administratives diversement rebutantes, il ne te restera plus qu'à soumettre directement à Hellboy (après tout, n'est-ce pas lui l'empereur d'UnderScores ?) ton petit effort personnel, que tu auras pris grand soin de faire tenir entre 3000 et 5000 caractères.