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Bricolage en famille (et à domicile, puisque ce sont des maquettes qui ont essentiellement été retenues) pour contrebasse, violoncelle, voix et quelques effets de percussions. On peut faire beaucoup avec pas grand-chose mais le film ne méritait-il pas mieux que cet habillage au feeling vaguement western, tellement épuré qu’il n’exprime presque rien ?
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Pour son premier long-métrage, Louise Courvoisier a embauché son frère et sa mère (et aussi son père) pour la musique. Très minimaliste, le court (18 minutes) score pour violoncelle, contrebasse et voix s’avère assez intrigant, voire même attachant. A noter que le film utilise surtout les maquettes et non les versions studio.
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Travailler en famille a du bon. Chez les Courvoisier, on fait aussi de la musique, et crévindiou, ils ont bien fait. Composé pour trio de cordes et voix (qui évoquent la minéralité du Jura), ce « petit » score proche d’un western méditatif dépouillé pose un décor mieux que n’importe quel Avengers. Ma surprise du mois.
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Il parait que Linda et Charlie Courvoisier sont compositeurs. Dommage qu’ils aient volontairement choisi de ne pas le montrer ici. Ah !?! On me dit qu’ils ont essayé… Comme dirait fort justement le père d’Amélie Poulain, « Je ne comprends pas. » JE NE COMPRENDS PAS.
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Travail en famille pour ce drame paysan à l’accent jurassien. La maman et le fiston travaillent pour la sœur réalisatrice. Des cordes brutes et baroques, quasi western, des chœurs masculins. C’est minimaliste et doux. Un score contemplatif.
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