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La note d’intention consistant à allier le folklore moyen-oriental à une supposée modernité occidentale n’est pas désagréable mais ne convainc jamais, ne parvenant qu’en de rares instants à faire ressentir ne serait-ce qu’un souffle de quelque chose. Un rendez-vous manqué avec le mystère et l’aventure dont on attendait plus que de vagues parfums.
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Le binôme se reforme pour illustrer une comédie d’aventure française, même si je m’interroge sur l’intérêt d’un duo pour un tel projet. Vu le sujet, leur musique se nourrit d’instruments et de sonorités orientales, tout en restant très occidentale. L’ensemble s’avère finalement sympathique.
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Dur de ne pas décevoir sur une « comédie d’aventure » sympatoche mais assez mal fichue. Échos d’une momie étasunienne le temps de plans référentiels, renvois à la musique arabe, valse-hésitation entre ambiances « à l’ancienne » réussies et transparence de comédie moderne un peu fade… à l’image du film, en fait.
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Le côté « enquête moderne » sacrifie trop à la mode des rythmes latino-arabes du moment, ce qui a eu pour effet de m’irriter d’emblée. Néanmoins, dans le contexte du film, ça se comprend. Il y a un réel effort pour proposer des couleurs chatoyantes et orchestrales, mais qui est hélas soutenu par une thématique rachitique. Dommage.
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Lucchini en Indy, c’est énôrme ! Courte et sympathique score qui accorde musique aux accents égyptiens avec une certaine modernité, et qui ne tente jamais de singer un certain JW. Et ça, c’est bien !
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