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Mise en scène musicale d’une grande exemplarité qui floute adroitement la frontière entre musiques intra et extra diégétiques (jazz manouche, baroque de Noël), délivre de beaux intermèdes aventureux, teinte le récit d’une nostalgie impressionniste touchante et, surtout, traduit à la perfection une douceur de vivre, de rêver… et d’aimer.
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Après son excellente (écoutez et succombez !) musique pour Le Pharaon, le Sauvage et la Princesse, je découvre donc le compositeur sur un autre film d’animation. Et quelle claque ! Pour cette nouvelle collaboration avec le réalisateur Jean-François Laguionie, il nous offre une musique colorée, intense, charmante et émotionnellement forte. Merci !
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Pour cette nouvelle collaboration avec Laguionie, Le Pennec compose une aquarelle lumineuse même dans le drame, où l’on passe avec bonheur de l’orchestre (surtout des cordes) au piano, du piano au jazz manouche, à des réminiscences de bal, de fanfare, de piraterie… La rêverie est omniprésente, avec sensibilité, sans sensiblerie. Joli.
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Peut-être la vraie bonne surprise du mois. Une musique légère (mais ambitieuse et bien écrite), un brin nostalgique, qui navigue entre Satie et le jazz Saint-Germain, le tout épaulé par un ensemble orchestral, certes de taille modeste, mais qui sonne particulièrement bien.
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Un film d’animation sur l’appel du grand large. Avec un nom pareil et sa marinière, le compositeur connait son affaire et offre une jolie musique chargée d’embruns et de douceur. C’est joli et bien réalisé.
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