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Si elle s’appuie largement sur les codes du riche folklore mexicain dans les harmonies et l’instrumentation (trompettes mariachi, guitares, guitarrón, accordéon), la compositrice parvient aussi à injecter à cette toile ensoleillée, et voulue authentique, ce qu’il faut de sensibilité impressionniste, jusqu’à un final à la fois tragique et lumineux.
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Je ne connaissais pas cette musicienne, cheffe d’orchestre et compositrice, qui se rêvait footballeuse professionnelle. Ce que le sport a perdu, la musique l’a donc gagné. Le folklore musical mexicain et la musique symphonique occidentale se rejoignent, à l’instar des vies réelle et fantasmée de la jeune Frida. Une véritable sucrerie, chanson incluse.
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Désormais icônisée-merchandisée, Frida Kahlo nous revient dessinée-animée dans un style naïf, portée par ce score latino-orchestral sensible avec clins d’œil au style mariachi, brillant quand il n’est pas nostalgique (la guitare chaleureuse). Mieux qu’un cocktail illustratif à la tequila, cette B.O. se passe très bien d’images.
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Pour ce film d’animation qui brosse un portrait de Frida Khalo, enfant et adulte, la compositrice française utilise des ambiances éthérées mais non dénuées de motifs ou de mélodies par le biais d’orchestration parfois dansantes, parfois diaphanes, ce qui ajoute davantage à la chanson d’Olivia Ruiz, bien dans le ton. Une excellente surprise.
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Joli film animé qui décrit l’univers coloré et onirique de Frida Kahlo. Le musique se teinte de rythmes mexicains et de couleurs avec légèreté, jusqu’au passage final, L’Accident, morceau de drame fort bien troussé. Jolie chanson d’Olivia Ruiz.
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