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L’expressivité de Silvestri peut bien paraître incongrue à certains aujourd’hui, elle n’en est pas moins indissociable du cinéma de Zemeckis. Et lorsque, comme ici, le compositeur retrouve son inspiration des 90’s et, outre quelques robustes éclats, fait entendre une mélodie centrale qui va droit au cœur, on peut aisément se laisser cueillir.
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C’est beau ! Ai-je besoin d’en dire plus ? Là, où plein de yes-men se seraient contentés de balancer un score insipide et passe-partout, le fidèle compositeur de Zemeckis apporte une musique vivante et bourrée d’émotions contrastées. Au pays de Silvestri, comme dans tous les pays, on s’amuse on pleure on rit… Merci pour cette démonstration !
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Alan silvestrise tandis que Bob zemeckise. Ce cocon musical tout confort vous cajole l’âme comme pas deux, peut-être trop référentiel pour épater, mais justement : en accord avec le casting, sa nostalgie visait à adoucir une mise en scène qui pouvait déstabiliser le grand public. Ça n’a pas suffi, hélas.
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Le retour attendu du duo Silvestri / Zemeckis. Un petit air de Forrest Gump, forcément, mais pas que ! Quelques jolis coups de boost et un très beau thème. Le film, totalement incompris, est un tour de force narratif, technique et émotionnel, indissociable de sa musique.
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