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Quelques accords pathétiques d’une guitare et une poignée de longues saillies d’action vitaminées assez réussies ne suffisent pas à susciter l’enthousiasme sur cet effort électro-orchestral pas fun qui, la plupart du temps, tient du bouche-trou entre les chansons. On s’ennuie, et l’album de 43 minutes paru précédemment était plus digeste.
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Amputé des chansons, le score seul se révèle faiblard dans le suspense synthétique. Mais pour le gros fana du film que je suis, les thèmes jubilatoires et l’énergie dégagée (pour la « bataille » finale surtout), malgré les moyens limités, font tout le sel de cette B.O. parodique.
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Ça commence pas mal et puis… c’est le drame ! Je me suis ennuyé durant une bonne partie de l’album, puisqu’il faut attendre longtemps avant que ça bouge un minimum. L’ensemble est vraiment très inégal, surtout que l’électro parasite plus qu’autre chose l’écoute. Au final, ce score attendu s’avère être une sacrée déception.
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Ma note est une moyenne. Le remplissage ambient de cette intégrale ne doit pas cacher le talent d’Arnold : ses références musicales amusent tout en faisant mouche, sur des registres diversifiés ; ça reste inégal mais certains parodiés auraient ici bien des leçons à prendre, y compris quand Arnold muscle son jeu. Grosse démo de savoir-faire.
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J’adore ce film, complètement dingue et délirant. Terriblement british ! Arnold aime aussi cette ambiance, et ça s’entend ! Le compositeur s’éclate, s’amuse des classiques (cette
« presque malédiction » est un régal). C’est la musique idéale pour la récréation d’Edgar Wright.
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