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En tentant une synthèse presque impossible entre l’oppression originale de Riepl et les bourrinades génériques de Djawadi, White rejoint finalement les manières de Jablonsky, responsable du second GOW. La continuité a donc bêtement prévalu sur la recherche d’une quelconque singularité liée à la nature même de cet opus stratégique. Dommage.
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Pas honteux… mais pour mesurer la touche de White, il faudrait avoir envie de revisiter les opus précédents de Djawadi ou Jablonsky, et ce n’est pas ce synthorchestral des plus génériques qui en donne vraiment envie. Un produit fabriqué selon les standards du moment, ni plus ni moins.
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Je ne sais pas si le studio a laissé carte blanche à White, mais le résultat est vraiment pas mal. Alors oui, ça reste bourrin (c’est pas T’choupi !), mais il se dégage un je-ne-sais-quoi rendant ce score plus intéressant sur la durée que ceux des compositeurs précédents. Peut-être le fait que cette préquelle /spin-off soit plus orientée stratégie ?
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J’avoue que je ne connaissais pas ce compositeur. Alors, pour cette musique de jeu vidéo, on a droit à un traitement sonore assez soigné, même fouillé par instants. Le tout me parait essentiellement synthétique, avec quelques interventions acoustiques. Là où le bât blesse, c’est que je ne suis pas arrivé à retenir le thème…
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Mes talents de gamer se limitent à Doom 2 sur mon PC et Trivia Crack sur mon portable. Autant dire que je suis une buse. J’ai écouté d’une oreille (très) distraite, et… pas pour moi. Je n’accroche pas du tout.
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