 |
Ah… les balades en nature, le chant de la rivière, le bruissement des feuilles dans les arbres, les souvenirs d’enfance… et les délicates impressions musicales pour trio piano-violon-violoncelle de Rachel Portman, qui trace son chemin avec sa sensibilité et sa verve mélodique habituelles. Un album personnel ensoleillé et charmant.
 |
 |
Une note absolument subjective, il n’y a rien ici d’extraordinaire, encore moins si l’on est familier de l’art de Portman, et c’est justement sur cela qu’il repose : des mélodies évidentes qui touchent en plein cœur, un petit ensemble dévoué à transmettre une émotion et une ambiance automnale qui me rappelle mon préféré : Still Life.
 |
 |
Pour son premier album solo, Portman propose une ode à la beauté simple et au calme de la campagne anglaise. La dame ne manque pas de talent. Piano, violon et violoncelle sont réunis pour… m’entraîner gentiment dans les bras de Morphée. Alors oui, c’est beau et apaisant, mais c’est un album que je ne réécouterai probablement plus.
 |
 |
Pour ce projet solo, qui n’est pas une musique de film, Portman a mis tout son cœur pour traduire la cause de l’environnement. La musique, essentiellement pour piano, violon et violoncelle, sait émouvoir par des mélodies tendres, presque nostalgiques, et graves, comme si l’urgence de la maltraitance de notre Terre avait trouvé un écho chez elle.
 |
 |
Minimaliste avec un piano qui se taille la part du lion, on pense parfois à George Winston ou encore Agnes Obel. Délicat et joli, comme souvent avec la compositrice. On a envie de voir des images mais c’est un album solo et pas une B.O. La monotonie ne gagne pas pour autant et il reste quelques clips reposants sur Youtube.
 |