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Une musique très narrative, bien plus orchestrale que dans mes brumeux souvenirs, assez naïve voire simpliste dans l’approche, mais finalement tout à fait en phase avec le premier degré également choisi par Michael Kamen pour les films suivants de Terry Gilliam. Une exhumation inattendue, pas forcément indispensable mais hautement sympathique.
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Introduction synthétique mais partition orchestrale d’honnête tenue où tout semble à sa place, tableau après tableau. Malgré cela, et hormis quelques sursauts qui accrochent l’oreille (l’entrée dans la forteresse notamment), l’approche manque du piment qu’un Michael Kamen (songeons à Münchhausen) aurait pu apporter. Simple curiosité donc.
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Démarrage avec un synthétoche so 80’s – les nostalgiques seront au garde à vous ! – puis succession d’ambiances, pour un petit orchestre, qui se démène pour nous offrir du swashbuckler, des marches martiales, du péplum antique, du suspense, un gros morceau rythmique et percussif de 8 minutes, des choeurs… et même des thèmes !
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« Oulah, cette critique va être vite pliée ! » me suis-je dit en écoutant l’Opening Titles.
« Monumentale erreur ! » disait Hamlet à Claudius. Et c’est bien vrai ! C’est bourré de bonnes idées et d’une belle variété orchestrale, faisant oublier les trucs plus synthétiques. Au final, ces bandits, bandits n’ont pas volé leurs étoiles.
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Après le thème et ses synthés vintage, ça passe crème ! Et c’est bien plus orchestral et sympathique que dans mon souvenir. Mais il faut dire que je n’ai pas revu le film depuis sa sortie.
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