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Euh, comment dire… Un thème central, pour piano et cordes, joli mais peu mémorable alors qu’il est pourtant répété ad nauseam pendant plus d’une heure… et c’est tout. Bref, on a connu Armstrong plus inspiré. Sauf si vous aimez le piano, parce qu’il y en a vraiment beaucoup. L’avant-dernier morceau est chouette, mais, euh, comment dire…
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Avec cette écriture dominée par le piano et les cordes, on se surprend à penser à un genre de Love Actually (du même Craig Armstrong) sans joie, voire plutôt funèbre, flatteur pour l’oreille en premier lieu mais assez vite assez ennuyeux à force de tourner en rond. Dommage.
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Faut vraiment interdire aux compositeurs d’utiliser le piano larmoyant dans la musique de film. Et les cordes aussi. Je n’en peux plus. Je suis à deux doigts de la dépression. J’ai l’impression d’écouter les mêmes trucs sur plusieurs albums de cette fournée. Bon, il y a tout de même des titres plus vivants, ce qui permet à ce score d’obtenir la moyenne.
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Très jolie partition, plutôt intimiste. Des cordes et un piano, ça semble être la recette un peu « obligatoire » du genre, pas de bouleversement de ce côté. C’est sans doute pour ça que je n’ai pas grand-chose à dire. C’est du bel ouvrage, tout à fait plaisant. La fin de l’album ouvre vers un peu plus d’ampleur, bienvenue. Bref, fort honorable.
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