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Euh, comment dire… Des glissandi à tout va se partagent l’espace avec des effets plus sonores que musicaux et des plages menaçantes ou plus reposantes d’une banalité souvent confondante. Il y a quelques passages plus réussis (le chœur sur The Ritual Of Chüd), mais c’est bien trop peu sur un album long comme un jour sans pain.
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Mélodies intrigantes et thématique travaillée, ampleur chorale, manipulations sonores, orchestre dissonant et agressif parfois à la limite du supportable, c’est un peu le meilleur de deux mondes horrifiques (ceux de Young et Bishara) que Wallfisch réunit ici dans un second opus aussi percutant que le précédent.
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Trop long, l’album noie quelques plages mélodiques et émouvantes sous les grincements, des dissonances abrasives et sans inspiration, et le suspense le plus générique. Wallfisch fait de plus en plus penser à un Debney de l’horreur : capable de tout, sauf d’avoir une étincelle d’inspiration personnelle. Réécoutez donc Evil Dead de Baños.
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Une belle musique de film de frousse. Certes, elle est classique (dissonances, ruptures, bruits zarbis…), mais on s’en tape, puisque le plaisir d’écoute est là.
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« More of the same » pourrait résumer cette suite. Ce n’est donc pas mauvais en soi, c’est même plutôt bien fait et très écoutable quoique très classique. Mais si vous connaissez le premier opus, bien peu de nouveauté à l’horizon. Mêmes atmosphères, effets, thèmes, et trop rares sonorités inédites. Et trop long présenté tel quel (1h40 !).
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