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Bien entendu, c’est toute une époque qui se fait entendre, dans les mélodies rêveuses comme dans le recours à la voix et aux sonorités synthétiques, mais les amateurs du genre succomberont sans difficulté à cette sensualité 70’s qui s’épanouit parfaitement ici. La « MBR touch » a encore frappé, et cette édition efface totalement l’ancienne.
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Dans l’ensemble, cette musique de Bachelet (chanteur que j’apprécie par ailleurs) est sacrément tarte ! Le thème, nonchalant et vaguement érotique, va et vient de nombreuses fois sur la durée du disque, sous des formes et orchestrations différentes. Mais ces paroles ! Misère… Vraiment pas ce que Bachelet a fait de mieux…
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POur cette deuxième cOllabOration avec le réalisateur Just Jaeckin, Bachelet nOus Offre une musique sensible, sexy et éthérée. Il y a vraiment de très bOns passages et dans l’ensemble, c’est plutÔt charmant. Par contre, sur une heure, ça m’a aussi paru très lOng. PersO, je préfère la musique, sOuvent grOOvy et… rentre-dedans, du cinéma pOrnO.
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Le style assez particulier — on va dire que c’est du rock progressif sensuel — de Bachelet offre un début d’écoute plaisant et surprenant. Petit à petit l’ennui pointe son nez tant les pistes se suivent et se ressemblent. L’album, trop long, dilue ses effets sans parvenir à accrocher l’oreille. Dommage.
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