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Une partition particulièrement festive à base de mambo et de big band qui arbore parfois des airs de Mancini, de Nelson Riddle ou même du légendaire Incredible Bongo Band. On y trouve également de l’underscore dramatique très réussi qui se paye à l’occasion le luxe de loucher vers les Untouchables d’Ennio Morricone. Bravo messieurs !
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Sorte de melting pot réjouissant d’influences diverses : avec son jazz, ses guitares et percussions latinos, on croise assez clairement le style d’Henry Mancini et celui de Lalo Schifrin, avec ponctuellement des accents russes ou asiatiques, quelques plages plus orchestrales tandis que surgit, au détour d’un mambo, la base du James Bond Theme.
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Sous ses airs de récital mambo, le score déborde de richesses inattendues : une citation sans complexe de 007, les boucles musicales d’un improbable Philipp Glass sud américain, des chœurs chabadabada… Bien plus riche qu’elle n’en à l’air, la belle découverte du moi, pour ma part !
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C’est ma première musique de ce compositeur et je suis agréablement surpris. Reyes n’est pas seul sur le coup, puisqu’il a collaboré avec Andrés Sánchez (il est donc resté debout) Maher et Dan Zlotnik. Qui a fait quoi ? Mystère. Rythmes latins, jazz, sonorités chinoises et russes, suspense, humour… Bref, pour ma part, c’est une belle découverte.
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