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The Pilot’s Wife présente une approche mélodique très caractéristique du compositeur, malheureusement plombée par l’usage de samples mêlés à quelques instruments acoustiques. Plus ouvertement orchestral, plus ample aussi, The Tenth Man offre un lyrisme dramatique beaucoup plus convaincant. A découvrir, tant Holdridge se faire rare….
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Le fan de la joliesse mélodique du compositeur sera sans aucun doute ravi de découvrir deux partitions inédites. Reste qu’il s’agit là d’efforts mélodramatiques relativement mineurs, le plus récent (The Pilot’s Wife) souffrant de plus malheureusement de son recours à de trop froids samples orchestraux.
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The Pilot’s Wife est anecdotique et handicapé par le manque de moyens. The Tenth Man justifie à lui seul l’achat du disque, le sens symphonique romanesque, émouvant et classique de Holdridge s’y déployant avec une ampleur qui ravira ses heureux inconditionnels.
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Le premier score souffre d’un manque de moyens (solistes accompagnés d’un orchestre samplé), mais Holdridge s’en débrouille avec une écriture intelligente et accessible. Le ton est à la fois tragico-romantique et trouble. Le second, mêlant romance et tragédie historique, est plus ample et impressionnant, avec un ton passionné et désespéré.
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The Pilot’s Wife n’est pas désagréable, malgré son côté cheap synthé, mais ne vous attendez pas à quelque chose de lyrique. Le deuxième score, plus orchestral, est déjà plus intéressant, plus dramatique, avec ses cordes à la fois mystérieuses et chaleureuses et ses bois sombres. L’album se termine sur 4 morceaux d’accordéon : étrange idée.
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