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Cher Ramin, tu vois, j’avais raison : des vacances à la montagne, loin de de la pression qui te pousse sans cesse à fournir des kilomètres de musique à d’innombrables séries TV, ne pouvait que te faire le plus grand bien. La partition délicate et émouvante qui en découle en est la preuve. Tu devrais t’acheter un chalet et rester là-haut !
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Il est facile de juger l’écriture de Djawadi assez simpliste. Cette partition, repliée sur elle-même et qui pourrait être l’œuvre d’un minimaliste moyennement inspiré, ravira ceux qui ne supportent pas les musiques pleines de notes, d’autant que l’aspect mélo est au fond assez agréable et a le mérite de ne pas être honteusement démonstratif.
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Ho putain ! Du piano, de l’émotion en veux-tu en voilà… Je crois qu’on tient là le chef d’œuvre de Djawadi. Allez, ça vaut bien…
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Djawadi montre d’une belle sensibilité dans cette partition aux élans romantiques amples, clairs et simples. On ressent parfois l’influence d’Interstellar (construction répétitive et rythmique, orchestrations) mais aussi The Village. Le résultat est d’une beauté directe et accessible, et l’écoute est facile. Il y manque peut-être un brin de sophistication…
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J’avoue que Djawadi m’a cueilli. Oh bien sûr, on retrouve un peu les mêmes progressions harmoniques basiques des gars de chez RCP, mais le travail « glassien » des cordes et du piano est intéressant. La mélodie principale est assez jolie et l’ambiance hivernale est bien retranscrite par une large section de cordes, un violon soliste et le piano. Pas mal du tout!
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