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En mode intimiste, Williams nous invite à partager une romance à l’innocence printanière avec une élégance de tous les instants, faisant la part belle aux cordes et à une superbe trompette en sourdine. Simple et très touchant. Le court score de Pete ‘N Tillie est un supplément inédit qui achève de rendre incontournable cette réédition inattendue.
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Deux partitions chaleureuses et intimes, chacune à leur manière : la plus ancienne (et inédite) où Williams n’est certes plus Johnny mais au fond pas encore tout à fait John, la seconde à la charnière entre deux décennies, entre les joliesses des années 80 et les qualités plus concertantes des années à suivre. Délectable dans les deux cas.
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Duo de Williams pour Martin Ritt, dans une veine facile et sentimentale mais irrésistible : on pense beaucoup aux passages dominés par le piano de Jurassic Park, l’instrument ayant ici part égale avec la flûte que l’on retrouvera dans War Horse. Tout est aérien, délicat, charmant, mille caresses pour l’oreille, dont on ne lasse jamais.
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Une partition légère, lumineuse et d’un charme simple, discret et irrésistible. Le piano, les cordes et les vents semblent dialoguer, gravissant ou dévalant des émotions simples mais toujours nobles. Le titre inédit est dans la même veine romantique, avec une pincée de pop des années 70. À savourer au printemps, la fenêtre ouverte.
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