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Le duo est sans aucun doute talentueux, et le soutien du London Symphony Orchestra ne manque pas de panache, mais la frilosité d’une sélection de partitions aussi grand public évoque plus une compilation de supermarché qu’une démarche artistique, et torpille presque automatiquement l’impact de l’entreprise sur tout béophile un peu averti.
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Alors qu’ordinairement, on apprécie plutôt leur dynamisme et le sel qu’ils apportent à leurs relectures de tubes rock, métal ou pop, on peut déplorer que le duo s’avère soudainement ici aussi sage, consensuel voire, pour un programme pas désagréable mais ultra grand public en compagnie du LSO. Au final un album assez ennuyeux et décevant.
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Les deux zozos sont aussi sur la compil’ des « Classics » à Zim. Mais avec un seul titre. Donc ici, en quelque sorte, c’est 14 fois pire.
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Si le choix des morceaux reste très grand public, entre grands classiques et succès populaires récents, l’album a deux atouts : les solistes sont réellement mis en avant et l’accompagnement est de bon goût. Séduira votre entourage pour montrer que la musique (de film) que vous écoutez ne nécessite pas d’ingérer de produits stupéfiants.
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L’idée : réinterpréter quelques-uns des thèmes de musiques de film ou série les plus célèbres par deux violoncelles, le tout épaulé par le London Symphony Orchestra. Et vraiment, ça a de la gueule ! Mention spéciale aux versions de Game Of Thrones, Braveheart (splendide), The Godfather et Gladiator (très inspiré).
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