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Un ton général assez dépouillé, toutes sortes de percussions, des passages d’électro-orchestral bizarroïde, de la musique orientalisante… Un peu fauchée (il y a pas mal de samples), l’approche, originale et très disparate, est radicalement différente des autres jeux de la franchise, moins réussie et surtout difficile à appréhender hors gameplay.
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Basé sur des boucles et des intros, conclusions ou développements brusques du fait du support vidéo ludique illustré, Zelda tire sa force de ses contraintes. Parfois envoûtant comme du Glass, ou lyrique comme du Kanno, ce sont surtout les mélanges instrumentaux inattendus dans le contexte fantasy qui retiennent l’attention.
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Inattendue, cette nouvelle musique dans la saga prend une tournure fraîche et aérée. Outre l’ensemble instrumental modeste, l’électronique est aussi très importante, sculptée avec soin. Une impression d’épure naît des choix de timbres et de mélodies, simples sans être évidentes. Rien de tel pour créer un univers musical intriguant.
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Un piano aussi frais et léger qu’une brise d’été vient vous chatouiller les oreilles, et c’est tout un monde merveilleux et zen qui s’ouvre à vous. Un monde essentiellement orchestral mais rempli également de petits sons électro (un peu kitsch parfois, c’est vrai). Mais dans l’ensemble, ce Zelda propose un voyage agréable et parfois même original.
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