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Les rares bonnes idées qui transparaissent occasionnellement dans cet électro sans âme sont pompées sans aucun effort sur Tron Legacy ou John Carpenter par un Trevor Morris en bout de course. Pendant ce temps-là, l’auditeur souffre en silence, jurant qu’on ne l’y reprendra pas. Faut vraiment qu’il arrête de fister son public, le Trevor.
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A l’image de John Paesano pour son insupportable Daredevil, Trevor Morris flingue son sujet, d’abord avec un plagiat manifeste et carrément honteux de Tron Legacy (encore lui) en guise de générique, ensuite par une bande-son électro-percussive proprement imbuvable, d’une nullité musicale intersidérale. Un massacre !
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Trevor Morris s’ébroue avec délectation dans les temp tracks habituels, de Hans Zimmer à Tron Legacy, pour n’en garder qu’une bouillie sonore dégueulasse, ou déboulent de temps en temps des rafales percussives achevant nos oreilles déjà malmenées. Iron Fist Fucking !
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Pff, encore une musique de série générique interchangeable dont on ne retient rien. A moins que des ambiances et des percussions sans âme vous fassent kiffer ?
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Essentiellement électronique, la musique joue sur les textures et les rythmes pour créer la tension et les émotions, avec quelques touches rétro bienvenues. Il s’inspire par moments énormément de Tron Legacy (même le générique !). On a l’impression de passer souvent de morceaux vides à des morceaux bruyants remplis de percussions.
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Un score électro de plus. Tout moche. Tout loopé. Complètement loopé même… Est-ce bien raisonnable d’en dire plus ?
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