|
On sent une volonté sous-jacente de développer une thématique, mais la réalisation n’est pas à la hauteur du projet : les moyens techniques, à base de samples orchestraux pas vraiment remarquables (les chœurs sont horribles), ne sont pas du fait du compositeur, mais il aurait facilement pu éviter les masses techno dès que l’action se met en marche.
|
|
L’album aurait gagné à être resserré : 58 minutes de musique pour 75 de film, autant dire qu’il y a beaucoup d’underscore et de plages d’ambiances. Mais, comme souvent, le travail thématique est là : un thème accrocheur à la Simonetti et une ambiance gothique-choc réussie, déclinées suivant les formules habituelles de la maison Kral.
|
|
Damned ! Encore une fois, filez-lui un véritable orchestre, bordel ! Le « dark » du titre est justifié musicalement par une tonalité menaçante et sombre servie par l’électronique, de gros cuivres et des chœurs apocalyptiques. Mais Kral développe aussi une atmosphère fantastique efficace, avec sonorités étranges et thèmes mystérieux. Très bien fichu.
|
|
Un score électro-samplé de toutes parts qui n’est pas loin d’être dégueulasse. Oui, c’est ça, dégueulasse. Kral a déjà fait mieux (son Superman Doomsday n’était pas si mal). Il y a bien un thème, mais il est souvent accompagné de rythmiques technoïsantes complètement saoûlantes…
|