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Petit effectif instrumental pour ce drame sportif inspiré d’une histoire vraie : le compositeur construit sa partition autour d’un joli thème pour piano, introduit un touchant violon solo puis confie l’envolée émouvante à une petite section de cordes.
Très joli, mais aussi trop peu remarquable pour laisser une trace durable sur l’auditeur.
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Bien dans l’air du temps avec ses nappes d’ambiances sur lesquelles se détachent quelques mélodies pour piano ou cordes sentimentales mais sincères, cette histoire d’aspirant au titre d’Iron Man donne plutôt envie de se lover dans le canapé, le chat sur les genoux, la main dans un bon gros paquet de madeleines…
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Un bien joli score tout en nuances, frais comme la rosée. Bon, c’est parfois un peu pathos, n’empêche, les compositions pour piano qui font le plus gros de l’album sont joulies meugnonnes.
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Bref album de 25 minutes qui, dès que le thème principal se révèle au piano, se remplit de chaleur et de bienveillance. L’auteur tire des émotions simples et vibrantes de son piano, d’une harpe, de cordes et des samples et de l’électronique (budget modeste oblige). Très agréable.
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Piano, célesta, synthés alternativement cristallins ou caverneux, petite section de cordes : la musique de Rodrigo Leão a son petit charme, notamment par l’entremise d’une ritournelle entêtante, même si elle ne révolutionne rien. Agréable, et c’est déjà pas si mal…
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