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C’est un Scott très inhabituel que nous découvrons avec cet inédit. Le compositeur y laisse le champ libre à ce qui constitue probablement la partition la plus expérimentale de sa carrière, entre musique horrifique pour piano et petit orchestre, percussions en roue libre et free jazz déjanté et dissonant. Pas facile d’écoute, mais passionnant.
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Contribution intrigante, parfois tribale ou percée de figures jazzistiques, très 70’s dans son instrumentation resserrée (flûtes, clarinettes, guitare électrique et basse, piano et Rhodes, percussions) et qui n’est pas par certains côtés sans évoquer les musiques que Scott signa à la même époque pour les documentaires de Cousteau. Jolie découverte.
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Pas ce que Scott a fait de mieux, mais très intéressant tout de même vu le nombre de fois où le film culte de Warren a été référencé, au cinéma comme dans la musique. Bref, y’a plein de percus et d’instruments à vent et ça sent la prêtresse dénudée.
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Un peu déroutante, cette surprenante partition fantastico-funky mêle écriture un brin atonale pour petit orchestre et éléments pop (guitares, claviers, percussions). Les effets psychotropes paraîtront vieillots, mais le savoir-faire de Scott est là. L’instrumentation est restreinte mais les thèmes et motifs sont facilement identifiables et très présents.
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John Scott tire parti au maximum des combinaisons instrumentales et réussit à éveiller l’intérêt de l’auditeur à de nombreuses reprises. Composée pour piano, percussions, clarinette, guitare, basse électrique, et synthés essentiellement, la musique de ce film d’horreur à contenu érotique rend hommage à certains titres de la Hammer des 70’s.
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