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Les (nombreuses) chansons sont tout à fait écoutables, mais ne débordent jamais du cahier des charges, et c’est aussi le reproche qu’on pourrait faire au score de Mancina : il se contente de tisser un agréable papier peint exotique là où le film aurait pu largement bénéficier d’un commentaire émotionnellement plus tranché. Pas de vagues, donc.
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Toujours impeccablement intégrées au récit, les chansons très réussies sont bien sûr l’atout majeur du long métrage. Mancina en prolonge les idées habilement, mais il manque tout de même à son travail quelques morceaux de bravoure pour acquérir un autre statut que le simple soutien léger et dépaysant qu’au fond il est.
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Je dois vous le dire tout de suite, je n’ai pas écouté les chansons, donc je ne parlerais ici que du score de Mancina. Une partition énergique et bien foutue, mais qui pêche dans les passages d’action aux relents RCP un peu trop présents. Les thèmes sont beaux, bien orchestrés et franchement ça a de la gueule. M’enfin, je pense que dans le film ça marche.
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J’étais curieux d’entendre le retour du père Mancina dans le giron disneyen. Outre de chouettes chansons bien ficelées, le score remplit largement son rôle. Le talent du compositeur n’est plus à démontrer mais cela manque tout de même de surprise. Heureusement, il y a un cœur qui bat là-dessous.
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Mancina marche sur les traces de Powell avec une partition aux airs (sagement) exotiques, vivifiants, avec un sens aigu de l’aventure. Si les chansons sont excellentes, un séquençage mêlant score et chansons aurait été plus agréable. Dans la section (abondante) des démos, ce sont les chansons qui tirent leur épingle du jeu.
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Mancina est de retour chez Disney et ça fait du bien aux oreilles ! Le compositeur a participé à l’écriture des chansons (fort réussies pour la plupart) et s’est chargé du score (environ 45 minutes sans compter les démos). Très percussive, la partition ne démérite pas quand l’orchestre s’en mêle. Une jolie surprise, fraiche comme un fruit exotique.
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