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Rien que du très classique : un joli thème (introduit au piano puis décliné par une petite section de cordes et parfois un peu d’électronique) qui partage ensuite l’espace avec une poignée de thèmes secondaires tout aussi sincères dans leur simplicité. Très agréable donc, mais sans véritable originalité ni personnalité. Lion ? Pas de quoi rugir de plaisir !
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Un leitmotiv d’abord joué au piano puis par les cordes, superbe et envoutant, est quelques pistes plus tard rejoint par de l’électro au prime abord de mauvais goût. Mais l’ensemble est en réalité si bien pensé qu’il semble indissociable. Attention, ce disque peut vous faire partir très loin. M’enfin sinon il y a un morceau de Sia, pour ceux qui aiment.
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Passé la chanson assourdissante, l’album révèle une jolie partition pour piano, cordes et nappes de sons manipulés. Le thème principal, réussi, réapparaît régulièrement, dont une excellente variation à l’arrangement soigné (River). La sensibilité de l’ensemble assure des réécoutes agréables, voire gratifiantes. L’idéal est d’y raccrocher ses propres souvenirs.
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On ne peut pas dire que le thème, bâti sur une fondation d’accords arpégés au piano, soit véritablement marquant. Le reste de la musique navigue laborieusement entre cordes menaçantes ou diaphanes, piano cafardeux et effets synthétiques vaporeux. Bref, on a déjà entendu ça mille fois ailleurs et souvent en mieux.
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