 |
Au mieux, du fonctionnel brut de décoffrage façon actioner moderne, comme on en entend souvent sans jamais y faire vraiment attention. Au pire, du sound design baignant dans une décoction d’ambiances industrielles. Au final, pas grand-chose à en dire, pas grand-chose à en faire et surtout pas grand-chose à en retenir.
 |
 |
On n’attendait pas forcément de cette Lady qu’elle soit particulièrement sexy, c’est d’accord, mais on aurait tout de même pu nous épargner l’électro-mocheté de base remplie de sonorités de percussions terriblement peu ragoûtantes. Yerk !
 |
 |
J’aime particulièrement la façon dont les cordes sont mises en avant pour un feu d’artifice émotionnel. Surtout quand Kilian y ajoute des bruits dont il a le secret. C’est bien ça. Et à un moment y a des sons à l’envers. Et soudain je me réveille et réalise que j’écoute un score tout pourri dans lequel il y a une piste contenant une jolie mélodie (Jane Tells Shu).
 |
 |
Impression de gâchis pour ce remake au féminin de Bloodsport. Kilian trousse un joli thème principal au piano et violoncelle pour l’héroïne, décliné de manière sensible. Il n’est malheureusement jamais exploité dans l’action. Elle reste surface et n’a que peu de poids narratif : percus asiatiques, électro-rock et c’est tout, pas d’enjeu. Dommage.
 |
 |
Kilian, ancien protégé de Christopher Young, crée une musique très rythmique à base d’éléments électro. Le score, entièrement synthétique, tourne autour d’un thème au piano enveloppé de sonorités planantes qui, sujet oblige (une femme apprend à maîtriser les arts martiaux), s’inscrivent dans une mouvance un peu zen. Pas indispensable…
 |