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Une ambiance de cordes d’abord cotonneuse glisse progressivement au fil de l’écoute vers un lyrisme onirique plus immédiat, rehaussé parfois d’une voix de femme qui ajoute une touche d’émotion bienvenue. Alexandre Aja a souvent surpris par la qualité de ses choix musicaux : ce nouveau projet et son compositeur débutant ne font pas exception.
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L’écriture pour piano et cordes reste très classique dans sa manière d’entretenir du mystère et de peindre les émotions, mais présente néanmoins de belles luminosités qui évoquent parfois en filigrane le style de James Newton Howard. Rien de follement original, mais il y a là un genre de sincérité touchante qui peut séduire.
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Trente-six minutes d’une écriture juste et intègre, sans rien qui déborde, c’est déjà bien. Mais Watson ne s’arrête pas là puisqu’il nous propose une partition intelligente, presque organique, qui fonctionne à merveille en écoute seule. Bref, je revis.
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Un court album très réussi évoquant l’onirisme grâce à l’utilisation habile du piano, des cordes et des voix et leurs résonances. La seconde moitié prend plus d’ampleur thématique, instillant de l’émotion crescendo. Une jolie réussite pour un compositeur-chanteur québécois peu rompu à cet exercice.
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C’est plutôt une bonne surprise, il y a presque un côté hypnotique dans cette musique, où l’orchestre côtoie des voix enfantines éthérées. On se laisse volontiers porter et du coup on a presque un sentiment de trop peu.
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