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Une partition gentiment inconséquente qui louche avec insistance vers Ennio Morricone, la musique de cirque de Nino Rota et donc (surtout) les Pee-Wee de Danny Elfman. Mais le travail est suffisamment soigné pour s’écouter sans trop sourciller. C’est déjà plus que ce qu’offrent bien d’autres comédies à la française.
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Courtes vignettes qui permettent de rehausser à l’occasion l’image d’un peu de fantaisie ou de mélancolie. Elles sont au demeurant fort bien conçues et orchestrées, rappelant même (très lointainement s’entend) le Danny Elfman de Pee-Wee : dommage que tout cela entre et ressorte de l’oreille aussi sec.
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Hum… C’est sympa d’apprécier le Elfman des années 90, mais de la repompe à ce point, en s’y mettant à trois, c’est un peu du foutage de tronche non ? C’est assez bien fait, mais c’est vite ennuyeux, vu que le talent du rouquin, c’est le rouquin qui l’a. Et pas eux. Voilà la vérité. PS: demain je reprends deux fois des moules.
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Une très bonne surprise que ce petit score léger et rigolo, un tantinet fantastique, et idéal pour ce conte farfelu. La variété instrumentale et le rendu acoustique sont aussi rafraîchissants que séduisants. On sent l’influence d’Elfman, sans que ça soit envahissant car intégré à un langage musical large et coloré. Et les chansons sont amusantes !
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Chou, caillou, genou… Oui, c’est tout ce que ça m’inspire, c’est vous dire ! Je ne comprends pas le projet musical, ni pourquoi il a fallu trois personnes pour le réaliser. Trois, quand même !
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