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Non seulement Djawadi revisite à nouveau ses thèmes avec beaucoup plus d’inspiration que pour les saisons précédentes, mais il propose aussi un peu de nouveauté, en particulier le spectaculaire Light Of The Seven, qui évoque immanquablement Philip Glass. Cette saison constitue peut-être sa contribution la plus aboutie à la série jusqu’à présent. |
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Quelques sursauts, mais rien de bien intéressant, Djawadi recyclant tout ce qu’il a fait jusqu’a maintenant sans émotion ni inspiration. Nullement mauvais, juste inintéressant et uniquement pour les fans qui seront septuplement contents grâce aux pistes bonus. |
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Le morceau Light Of The Seven aurait pu être une sacrée claque : belle mélodie au piano, qui, au moment où ça explose narrativement, est malheureusement gâchée par une orchestration à la limite de la démo synthétique. Marque de fabrique, d’ailleurs, de pratiquement toutes les musiques de la série. Tant pis. |
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Djawadi semble avoir bénéficié de moyens supplémentaires, malheureusement au service d’une partition sympa mais toujours sapée par un sérieux manque de profondeur. Au fil des pistes, on tourne en rond, sans trame dramatique claire. Le thème passe par différents instruments (orgue, choeurs) sans jamais évoluer. |
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On avait déjà enterré Djawadi avec les Stark, et on avait tort : cet opus est tout bonnement formidable, dans la série et en écoute isolée. |