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Une chouette partition épique pour grand orchestre un peu méconnue qui ne manque ni de thèmes héroïques, guerriers ou romantiques, ni d’arrangements fourmillant de détails, et qui rappelle souvent ce qu’un Broughton était capable de produire à la même époque. Dommage que le compositeur australien n’ait pas continué dans cette veine !  |
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Ah, ce son orchestral fleuri et ce style entraînant, tous deux typiques de leur époque ! Certes, The Lighthorsemen offrait une partition avant tout divertissante qu’on redécouvre ici avec un certain enthousiasme. Pour autant, on ne fera pas de cette réédition une exhumation majeure.  |
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Vous voyez la pochette ? Bah voilà ce qui vous attend : de l’aventure, de la passion, de la tension, enfin bref du tout bon. J’ai déliré deux jours sur l’album avant d’écrire cette notule et je ne peux pas être plus clair. Trop court, j’en veux plus.  |
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C’est sans connaissance aucune de ce Monsieur Millo, et donc sans a priori, que je me suis pris cette petite claque rafraîchissante et épique. Vous savez, cet emportement orchestral un brin désuet qui vous revigore un béophile engraissé au RCP ?  |
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Partition d’aventure symphonique old school et très enlevée, l’album s’écoute avec une facilité déconcertante. La recette a été mille fois éprouvée et les références à des œuvres classiques seront certainement légion, mais elles procurent encore ici l’ivresse qu’on adore trouver dans ces musiques si directement narratives et enflammées.  |