Hail, Caesar! (Carter Burwell)

UnderScorama • Publié le 15/03/2016 par

Hail, Caesar!HAIL, CAESAR! (2016)
Compositeur : Carter Burwell
Éditeur : Back Lot Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 05/02/2016

3.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Traité avec un sérieux imperturbable, ce pastiche musical de l’Âge d’or hollywoodien est plus structuré qu’il n’y parait. Solidement charpentée autour d’un thème ample qui rappelle les meilleurs travaux de Burwell, cette partition qui regorge de délicieuses vignettes rappelle à quel point les Coen stimulent toujours la créativité du compositeur.
4 out of 5 stars
Florent Groult Forcément, il est avant tout question de pastiches de différents styles de l’Age d’Or hollywoodien, mais Burwell n’oublie pas d’y injecter sa marque et des fils conducteurs de son cru. Impeccable, comme toujours pour le cinéma des Coen.
3.5 out of 5 stars
Baptiste Brylak C’est un mois de double réjouissance pour les fans de Burwell puisqu’on le retrouve ici pour sa dernière collaboration avec les frères Coen. Et il ne déçoit pas, s’amusant autour des thèmes principaux de l’intrigue comme un sale gosse. Hail Carter !
3.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Ah là oui, on se fend un peu plus la poire avec ce Burwell-là. Bon, c’est ultra référencé par nature, mais l’exercice de style peut plaire aux amateurs du film. Du bordélo-comique bien maîtrisé en somme.
3.5 out of 5 stars
Olivier Galliano Souvent, avec les bons réalisateurs, les compositeurs donnent le meilleur d’eux-mêmes. Hail, Caesar! est un score aussi foutraque que le film, où la comédie musicale côtoie les choeurs de l’armée russe, du jazz big band, des chansons de vieux cowboy usé au milieu desquels Burwell parvient à tirer son épingle du jeu sans problème.
4 out of 5 stars
Milio Latimier Ah, je dois m’avouer un brin déçu. Si les pastiches de musiques « pompeuses » de l’Âge d’or hollywoodien et l’atmosphère de film noir sont fort réussis, je suis quand même resté sur ma faim… Si chaque piste en elle-même est satisfaisante, l’album n’est pas évident, donnant une impression de patchwork pas tellement drôle.
3 out of 5 stars
Olivier Soudé Soli de piano, orchestre, chœur mixte, numéros musicaux… Burwell a bénéficié des grands moyens et ça tombe bien, il semble décidément très inspiré ces derniers temps. Entre pastiches de musique de péplum, de musique soviétique et citation d’Offenbach, l’auditeur est à la fête.
4 out of 5 stars