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Quand Chris Young se lance dans la fantasy, il ne fait pas les choses à moitié : son Roi- Singe est ambitieux, massif, puissant, percussif, puisant dans une matière thématique très travaillée et quelques instruments et couleurs asiatiques pour mieux éblouir l’auditeur à chacun des dix tableaux chamarrés qui constituent cet album. Wow ! |
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Un feu d’artifice aux couleurs de la Chine pour lequel notre généreux Chris Young n’a pas lésiné sur les moyens (grand orchestre, chœur et multiples percussions) : si vous aimez les divertissements musicaux sans surprise mais dynamiques et spectaculaires, vous ne serez assurément pas déçu ! |
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Rempli de thèmes sans fautes de goût, ce score de Young dirigé par Nic Raine ressemble à une boîte de chocolat remplie de friandises toutes plus exquises les unes que les autres. |
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Ce Young-là est une véritable fontaine de jouvence (blague) : l’aventure démarre sans préliminaire pour un festival de thèmes, de couleurs et d’action, tout cela quasiment en continu. Un vent d’air frais comme ça, ça fait du bien ! |
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En voilà un score qui s’est fait attendre ! Du Christopher Young en mode heroic fantasy, ça fait rêver, non ? Eh bien les chinois l’ont fait ! Bam ! Une sacrée tarte dans la tronche, un bel écrin orchestral classique dans lequel le compositeur se permet même quelques grands écarts stylistiques salvateurs. |
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Young m’a complètement embarqué dans cette aventure bigarrée. Les différents thèmes sont puissants, aidés par un titanesque orchestre de Bratislava, des chœurs grandioses et des solistes galvanisés. Le compositeur n’hésite pas à mélanger presque toutes ses marques de fabrique. Vivement la suite ! |